1q84

1Q84 ou quatre mois qui s’achèvent

Quand on lit une trilogie pendant quatre mois et que l'on arrive (enfin) à la dernière page, on est à la fois méga trop content (rien que ça !) et un peu triste de devoir laisser partir ces personnages qui ont grandi devant nous. C'est un peu le talent d'Haruki Murakami. On peut ne pas aimer et ça se conçoit très bien. Raconter la vie à la manière japonaise est toujours fastidieux et pas facile à aborder pour les occidentaux que nous sommes. C'est vrai qu'au milieu du deuxième tome j'ai commencé à sauter des passages mais après je me suis ressaisi. Parce que tout le charme de ce livre réside dans cette particularité. ...