Bonjour mes petites peluches psychopathes ! Aujourd’hui, grand retour de nos jouets préférés de Pixar avec Toy Story 4 de Josh Cooley. J’avais très peur en apprenant l’arrivée du 4, rien me hypait mais j’y suis allée sous l’impulsion d’une amie.
Woody (VO : Tom Hanks) est maintenant le jouet de Bonny (VO : Madeleine McGraw). Il n’est plus choisi pour jouer mais il l’aide quand même à surmonter les obstacles de sa vie. Elle donne vie à Forky (VO : Tony Hale), une fourchette qui ne comprend pas son nouveau rôle : être un jouet aimé. Woody fera tout pour convaincre Forky de rester avec Bonny.
Wow. Si longtemps que j’avais pas kiffé autant un Pixar. Ça m’a vraiment surprise et rendue heureuse en voyant le déroulé et la fin. Je m’attendais à être déçue (je crois que le 3 m’a déçu mais en vrai, je n’en ai aucun souvenir). Et c’est tout le contraire.
Le film est drôle, touchant et très bien écrit pour ces personnages. Normalement, je me fiche un peu de Woody mais il m’a profondément touché. Il fait preuve d’un altruisme impressionnant, ce qui l’a rendu tout de suite attendrissant.
L’autre personnage fort est l’antagoniste et son évolution qui est peu vue. Je suis ravie de ces fins qui sont fines, intelligentes et bienveillantes. Que de beaux messages pour les enfants.
Le film pour fonctionner a fait le choix d’oublier beaucoup de personnages habituels laissant la place qu’à Woody, la bergère et un peu Buzz. Ça peut en décevoir mais l’histoire choisie est belle et fait preuve de maturité et d’évolution intéressante pour cette saga.
Le niveau des graphismes est parfois incroyable. J’ai dû me concentrer pour comprendre que ce n’était pas de réelles feuilles lors de la scène de la pluie et cette lumière quand Woody et Forky marchent. Voir l’évolution visuelle est aussi très gratifiant !
Pixar s’est révélé toujours bon sur la gestion des émotions et cet opus ne fait pas exception. On rit, on pleure, on rit, on chiale sa mère et on re-rit.
Bref, je ne sais pas s’il y aura un 5 mais celui-ci m’a permis de renouer avec l’amour que j’avais pour les Pixar. Allez-y d’urgence !
Portez-vous bien !
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