beholder

Beholder

Bonjour mes petites dystopies ! Aujourd’hui, je vous parle d’un jeux-vidéal narratif et à choix se déroulant dans un univers joyeux et coloré : Beholder du studio Curve Digital.

Nous incarnons un concierge qui doit soit espionner ses voisin-es pour le compte de l’état totalitaire dans lequel il vit soit lutter contre cet état mais ça ne sera pas sans conséquence.

Beholder est semi-intuitif au départ. On comprend vite comment nous allons pouvoir agir ou non, selon les choix que nous faisons. Par contre, il y a quelques mécaniques de jeux que l’on peut exploiter à foison qu’une fois celles-ci bien comprises.

Nos choix sont importants car ils se répercuteront dans le temps et sur des personnages différents. Mais je vous le dis tout de suite : j’ai l’impression de n’avoir jamais fait de bons choix. Même ceux qui me paraissaient les plus gentils se sont retournés contre moi.

Il y a plusieurs fins au jeu en fonction de nos choix et actions. J’ai fait deux runs : une mi-étatique mi-révolutionnaire et une où je n’ai explusé ou mis en danger personne (enfin j’ai essayé du mieux que j’ai pu). J’ai donc eu deux fins un peu différentes mais certains choix me sont restés très difficiles à atteindre.

Surtout que ces deux runs ne m’ont pas permises de découvrir tous ce qu’il y a à découvrir dans ce jeu ! Je me suis faites spoiler avec les succès d’une amie et je ne sais toujours pas comment on l’obtient. Donc ce jeu est riche en contenu malgré une apparente simplicité.

Dans ce jeu, les gens peuvent mourir, aller en zonzon ou réussir à survivre, mais cette dernière option est la plus compliquée ! Serait-ce un jeu politique ?

Un jeu qui vous fera sûrement rire, rager (une pensée pour ma famille) et baliser sur vos choix ! Et surtout il vous occupera longtemps. A peu près 7h par run (ou un peu moins si vous captez plus vite que moi qu’on peut avancer le temps). Hâte de découvrir Beholder 2 !

Portez-vous bien !

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