In the flesh, incontournable

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In the flesh de Dominic Mitchell

Bon dieu ! Les zombies gentils arrivent ! Entre Warm bodies et In the flesh, la série ouf de la BBC, on est servi.

Dans un monde où les morts se lèvent et attaquent les vivants, le gouvernement a réussi à trouver un remède. Le syndrome des partiellement décédés (PDS) est alors crée et moyennant une injection par jour, les morts peuvent retourner chez eux. Mais entre temps, les vivants se sont organisés pour se protéger de leurs agresseurs et sont contre leur retour, persuadés qu’ils sont toujours infectés et dangereux. On suit alors le parcours de Kieren Walker de retour de son village mitigé entre tolérance et extermination.

Cette série de 3 épisodes (3h) est magistrale ! Le dernier épisode m’a fait pleuré environ 1L de larmes, c’est pour dire. Les personnages sont attachants et terriblement vrais. Le sujet traité nous conduit vers la question de la tolérance envers la différence : autres êtres, sexualité ou encore apparence physique. Tout y passe.

Doit-on se protéger contre ce qui nous a attaqué avant ? Prenons l’exemple de l’Europe déchirée pendant des années de guerre de pouvoir et maintenant unis par une monnaie unique.

Le seul reproche est sa courte durée. J’aurai aimé continué de regarder la petite bouille de Kieren (Luke Newberry), connaitre les vraies motivations d’un prêtre étrange etc (sinon je vous spoile :p)

Je n’ai qu’un conseil : REGARDEZ-LA !

 

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