Inferno

Bonjour mes petits virus ! Aujourd’hui on s’intéresse à Inferno, le troisième opus avec Robert Langdon. Après Anges et Demons et le Da Vinci Code, Tom Hanks revient en grande forme, ou pas.

Robert Langdon se réveille, partiellement amnésique dans un hôpital de Florence. À peine mis au courant de sa situation qu’on cherche à le tuer. Il s’échappe de justesse avec Sienna, une jeune infirmière. Il découvre dans son manteau un tube où se cache la première énigme d’une course contre la montre ; au bout, Inferno, un virus mortel prêt à se répandre sur l’humanité.

Inferno posterCe troisième opus claque vraiment. Je me suis laissée entraînée dès les premières minutes jusqu’à la fin. D’ordinaire, les fins me font c**** mais là j’ai eu une tension intéressante. Le scénario et l’empathie que l’on a pour les personnages y font quelque chose. Mais surtout ils ont viré un de mes clichés « préférés » : le héros trouve tout. Mais je n’en dis pas plus.

Il y a une belle représentations de personnages, de tous les continents et l’on s’en félicite ! Mais bémol sur les relations : toutes cis-hétéro. Dommage.

Malgré quelques facilités du genre et des faux-raccords assez violents par moment, le film se tient parfaitement. On se fait balader et l’amnésie de Langdon passe crème. Les plans du début où il a migraine, photosensibilité et visions aident à se mettre à sa place. Les visions peuvent être un peu trop trop mais j’ai beaucoup aimé leurs esthétismes.

Le film se base sur l’enfer de Dante, le poète italien. Comme dans chaque opus, Bébert (on est intime maintenant) nous couvre d’anecdotes et de détails sur les monuments visités et les œuvres contemplées.

J’ai bien aimé pour celui-là car il n’y a pas de complot ecclésiastique mais seulement une question posée et dérangeante : l’humanité est-elle un fléau et doit-on sauver la planète de nous-même ? Vaste question et difficile. Le film est américain donc je vous laisse deviner quel choix il prend à la fin mais il a le mérite de poser la question.

Je n’ai pas grand chose à dire sur les acteurs. Omar Sy a enfin plus de répliques et de temps d’écrans que dans tous ces autres apparitions ricaines. Cocorico ?

Bref, j’ai beaucoup aimé et ceux qui aiment les énigmes/films puzzle/film d’action, allez-y, je pense que ça devrait vous plaire.

Portez-vous bien !

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